Quand je regarde mes dessins et mes peintures, ce noir et ce blanc, les squelettes, les baignoires à yeux, les cerfs en costards, les têtes trouées, les corps allongés, l'obscurité se dresser (waouh, j'aligne les rimes) ; je me dis que mon imaginaire est bien étrange et peuplé de créatures bien glauques tout de même... J'hésite entre "une dépression cachée" ou "un instinct de psychopathe enfoui". Mais au fond, l'important n'est pas là ; l'important c'est que le dessin me libère et que je trouve que dans le noir et blanc se cache une profondeur quasi abyssale, le dessin devient non plus une représentation mais un point de vue ; j'ai toujours t